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Les BlackJacks d’Ottawa, membres de la Ligue élite canadienne de basketball (LECB), se déplacent ce soir à St. Catharines pour affronter les River Lions de Niagara à 19 h au Centre Meridian. Ce duel oppose les deux meilleures équipes de la Conférence de l’Est de la LECB: les River Lions trônent au sommet avec une fiche de 14-5, tandis que les BlackJacks occupent le deuxième rang avec un dossier de 9-10. Bien que Niagara ait déjà sécurisé la première place, Ottawa se bat pour conserver la deuxième position, synonyme de qualification directe pour les demi-finales de conférence. Lors de leur dernier match, les BlackJacks ont remporté une victoire importante à domicile contre les Shooting Stars de Scarborough, troisième au classement. Niagara, de son côté, est sur une lancée impressionnante avec sept victoires consécutives – égalant la troisième plus longue série de victoires de l’histoire de la ligue. Les deux équipes arrivent donc avec beaucoup de confiance, mais les River Lions sont tout simplement en feu. Leur dernier triomphe, une remontée spectaculaire de 23 points contre les Honey Badgers de Brampton (victoire 96-94), en est la preuve. Les River Lions sont d’ailleurs habitués aux matchs serrés – surtout face aux BlackJacks. Cette saison, deux de leurs confrontations se sont jouées sur la dernière possession. Lors du premier match de la saison des BlackJacks, Niagara l’avait emporté 87-85. Moins d’un mois plus tard, ils ont récidivé avec une autre victoire d’un point : 90-89. Ces équipes se sont également affrontées lors des demi-finales de la Conférence de l’Est 2024, un autre thriller remporté 94-91 par Niagara, qui a ensuite été sacré champion de la LECB. Tout cela mène à deux constats clairs : les affrontements entre Ottawa et Niagara sont souvent très serrés… et Niagara sort généralement vainqueur. À force de matchs disputés et intenses, cette opposition s’est transformée en véritable rivalité. « C’est clairement une rivalité maintenant », a déclaré le pivot partant des BlackJacks, Isaih Moore. L’entraîneur-chef d’Ottawa, David DeAveiro, partage ce point de vue tout en soulignant le respect envers l’adversaire : « C’est une équipe de qualité. Niagara ne se bat jamais contre elle-même. Si tu veux les battre, tu dois aller chercher cette victoire. Ils ne vont pas te la donner. » Ce respect est mérité : les River Lions, champions en titre, ont dominé la Conférence de l’Est cette saison, n’encaissant que deux défaites contre des adversaires de la même conférence en 19 matchs. Ils commettent en moyenne seulement 13,5 pertes de balle par match – la deuxième meilleure marque de la ligue – preuve qu’ils ne s’auto-sabotent jamais. Autre statistique impressionnante : Niagara affiche un bilan de 9-1 dans les matchs décidés par cinq points ou moins. Ce sang-froid en fin de match fait toute la différence lors du target time, moment où la pression fait souvent déjouer les équipes. Ottawa, en revanche, peine dans ces situations, avec une fiche de 1-6 dans les matchs serrés cette saison. L’équipe n’a su conclure que les rencontres où elle détenait une avance confortable avant le target time. Avant leur dernière victoire contre Scarborough (100-93), leur plus faible écart de victoire était de… 13 points. Cette victoire rapprochée a toutefois redonné confiance aux joueurs : « Ce soir, on a prouvé qu’on peut réussir dans le target time contre une bonne équipe », a déclaré DeAveiro après la rencontre. « On a eu tellement de déceptions… Cette victoire nous fait vraiment du bien, elle resserre le groupe. Elle nous donne la conviction qu’on peut gagner ce genre de match. » L’élément clé de cette victoire ? Un style de jeu modifié. Dès le premier quart, Moore et Shakur Daniel ont quitté le terrain, l’un expulsé, l’autre blessé. Ces deux joueurs n’étant pas les meilleurs tireurs à distance, Ottawa a opté pour un jeu rapide avec beaucoup de tirs extérieurs. Résultat : 15 tirs à trois points réussis – cinq de plus que leur moyenne saisonnière. Cette réussite était le fruit d’un excellent mouvement de balle, avec 25 passes décisives, au-dessus de leur moyenne de 21,8. S’ils veulent l’emporter ce soir face à Niagara, les BlackJacks devront miser sur cette circulation de balle et cette adresse extérieure. Autre facteur déterminant : le retour de l’ailier Zane Waterman. Absent lors des trois derniers matchs à cause d’une commotion, le vétéran de quatre saisons a inscrit un record personnel et de saison avec 36 points contre Scarborough. « J’avais beaucoup d’énergie après mon absence », a confié Waterman. Si cette énergie persiste ce soir, Ottawa pourrait bien poser de sérieux problèmes offensifs aux River Lions. Du côté de Niagara, l’attaque est extrêmement équilibrée. Le meilleur marqueur, Khalil Ahmad, tourne à 20,9 points par match, mais aucun autre joueur ne dépasse les 13. Huit membres de l’effectif actif affichent au moins 7 points de moyenne. Cette régularité collective obligera Ottawa à sortir sa meilleure défense. Les BlackJacks présentent actuellement la meilleure défense de la ligue, avec seulement 85,9 points concédés par match. Mais leur système défensif repose souvent sur la neutralisation d’un ou deux joueurs clés. Avec autant d’armes offensives du côté des River Lions, et l’état incertain de Daniel (meilleur défenseur individuel de l’équipe), il sera intéressant de voir comment Ottawa adaptera son plan de match défensif ce soir. Ne manquez donc pas ce troisième affrontement de l’une des meilleures rivalités de la ligue, ce soir à 19 h sur CEBL+ et TSN+. Avec des River Lions en pleine forme, jouant un basket collectif et discipliné, Ottawa devra encore une fois prouver qu’elle peut s’imposer dans les matchs serrés pour espérer repartir de St. Catharines avec la victoire. Contactez-nous sur les réseaux sociaux : Instagram : ottawablackjacks X : Ott_BlackJacks Facebook : OttawaBlackJacks TikTok : ottawablackjacks
De retour au jeu après une absence en raison d’une blessure, Zane Waterman n’a rien perdu de son rythme, menant les BlackJacks d’Ottawa à une victoire cruciale de 100-93 contre les Shooting Stars de Scarborough. Cette victoire permet aux BlackJacks de remporter le bris d’égalité face à leurs rivaux provinciaux, un avantage important dans la course à la deuxième place et au droit d’accueillir la demi-finale de conférence de l’Est. Le résultat de mardi confirme également que les River Lions de Niagara termineront premiers dans l’Est et décrocheront automatiquement un laissez-passer pour le week-end du Championnat. Waterman a réussi 14 de ses 17 tirs du match pour conclure la soirée avec 36 points — à un seul point du record de franchise détenu par ses coéquipiers Deng Adel et Javonte Smart. Adel a inscrit cinq points et ajouté 10 passes décisives, tandis que Smart a récolté 22 points et 10 passes décisives pour enregistrer un doublé, en plus de réussir le tir de trois points victorieux pendant la période du pointage cible. Tyrell Tate a également contribué avec 14 points, dont quatre tirs de trois points. « J’avais beaucoup d’énergie parce que j’étais à l’écart depuis un moment, a déclaré Zane Waterman. J’étais un peu essoufflé en première demie, mais beaucoup de crédit revient à mes coéquipiers qui m’ont trouvé sur le terrain. Deng et Javonte ont chacun obtenu 10 passes décisives, donc on a vraiment bien fait circuler le ballon. J’ai juste eu la chance d’être celui qui en a profité ce soir. » Cette performance ne pouvait pas mieux tomber pour les BlackJacks, qui se sont retrouvés à court d’effectif dès la fin du premier quart. Une pièce maîtresse de la défensive, Shakur Daniel, a quitté le match en raison d’une blessure au pied après seulement quelques minutes de jeu, tandis que le meilleur rebondeur de la ligue et deuxième meilleur marqueur de l’équipe, Isaih Moore, a été expulsé après avoir écopé de deux fautes techniques en fin de quart. « On a battu une équipe de qualité aujourd’hui, même avec des joueurs en moins, a souligné l’entraîneur-chef des BlackJacks, Dave DeAveiro. On a retrouvé Zane – c’est un morceau important de notre équipe. Vous avez vu ce qu’il est capable de faire pour nous. Tate a été spectaculaire ce soir. Deng a récolté 10 passes décisives et seulement deux pertes de ballon. Je suis vraiment fier des gars et de la façon dont ils se sont battus, malgré les absences. Les grands joueurs font de grandes actions, et c’est pour ça qu’ils sont dans cette ligue. » Les tirs de trois points ont joué un rôle crucial dans le début de match explosif des BlackJacks d’Ottawa, qui ont commencé la rencontre en feu. Ils ont réussi 61,8 % de leurs tirs en première demie, dont 10 tirs de trois points. Scarborough, de son côté, a connu un départ plus lent, ne réussissant qu’un seul de ses sept premiers tirs de trois points et affichant un pourcentage global de seulement 40,5 % en première demie. Malgré cette différence au niveau de l’efficacité offensive, le match est resté serré pendant une bonne partie de la première demie jusqu’à ce qu’Ottawa enchaîne une séquence de 14-2 pour creuser l’écart en fin de quart et retraiter au vestiaire avec une avance de 58-47. Les Shooting Stars ont répliqué au troisième quart grâce à leurs lancers de trois points. Ils ont réussi cinq de leurs huit tirs de trois points pendant cette période, ce qui leur a permis d’effacer complètement le déficit et de ramener le pointage à égalité avant le quart décisif. Les deux équipes se sont échangé les coups jusqu’à ce qu’Ottawa entre dans la période du pointage cible avec une légère avance de 90-89. C’est alors que Javonte Smart a pris le contrôle du match, inscrivant sept des 10 derniers points de son équipe pour sceller cette importante victoire. « C’était un match très offensif. Je trouve que les deux équipes ont bien joué en attaque, a déclaré l’entraîneur-chef des Shooting Stars, Mike De Giorgio. Il y a eu de grosses performances individuelles. Zane était tout simplement hors de ce monde ce soir. Chapeau à lui, c’était une performance de très haut niveau. Je trouve que notre effort défensif en première demie a été insuffisant. En deuxième, on s’est ajustés. Il y a eu beaucoup de tirs réussis dans ce match, mais ils en ont mis plus que nous en fin de rencontre. » « Il faut garder la tête haute, a-t-il ajouté. Il faut toujours penser au prochain match, à la prochaine action. On ne peut pas rester accrochés à ce qui vient de se passer. On joue de nouveau jeudi. On reprend la route demain et il faut être prêts à jouer contre le Surge de Calgary jeudi soir. C’est une bonne équipe qui s’en vient. On va enfin enfin être de retour à notre domicile. Ça fait un moment qu’on n’a pas joué à la maison. Il faut être prêts pour ce match. » Scarborough a été mené par Donovan Williams, qui a inscrit 29 points, dont cinq tirs de trois points. Aaron Best a ajouté 20 points et sept passes décisives, tandis que le nouveau venu Michael Foster Jr. a enregistré 12 points et 12 rebonds pour un doublé. Terquavion Smith — qui occupait le deuxième rang des meilleurs marqueurs de la ligue derrière Javonte Smart avant la rencontre — a été limité à 14 points, mais a tout de même contribué avec neuf passes décisives. L’un des éléments intrigants avant le match était la présence sur le terrain des trois meilleurs marqueurs de la LECB : Smart, Smith et Williams. Ce dernier a d’ailleurs admis que c’était une motivation supplémentaire en entrant sur le terrain. « Je suis un compétiteur, a affirmé Williams, qui vient tout juste de réintégrer l’équipe après un passage dans la NBA Summer League. Je ne cours pas après les statistiques, mais j’aime toujours les confrontations contre des gars talentueux. Donc j’attendais ce duel avec impatience aujourd’hui. Dommage qu’on ait perdu. » Peu importe l’issue du match de mardi, les deux équipes savaient qu’il était très possible qu’elles se recroisent en séries cette saison. Et même si Dave DeAveiro était heureux de l’emporter cette fois-ci, il n’a pas caché qu’il attendait la prochaine rencontre avec impatience. « Chaque fois qu’on affronte Scarborough, c’est une vraie bataille, a déclaré l’entraîneur-chef des BlackJacks d’Ottawa. Ils sont bien dirigés, ils peuvent marquer beaucoup de points. Mais je reste convaincu que lorsque notre équipe est complète, on est une équipe difficile à battre. C’est probablement plus facile de les affronter à domicile que sur la route. C’est toujours un affrontement de haut niveau. » Feuille de match https://www.cebl.ca/game?id=2600664 À venir pour les deux équipes Les BlackJacks d’Ottawa prendront la route pour affronter les River Lions de Niagara, leaders de l’Est, le 31 juillet. Les Shooting Stars de Scarborough retournent à la maison pour recevoir le Surge de Calgary, le même jour, dans un match qui lancera une série de quatre rencontres à domicile pour terminer leur saison. Prochain match dans la LECB Les River Lions de Niagara recevront les BlackJacks d’Ottawa lors de leur dernier match à domicile de la saison, le 31 juillet. La rencontre sera diffusée en direct sur CEBL+ et TSN+. Pour consulter le calendrier complet de la LECB 2025 ainsi que les résultats à jour, veuillez visiter cebl.ca/games . Contactez-nous sur les réseaux sociaux : Instagram : ottawablackjacks X : Ott_BlackJacks Facebook : OttawaBlackJacks TikTok : ottawablackjacks
Les BlackJacks d'Ottawa de la Ligue élite canadienne de basketball (LECB) affrontent ce soir les Shooting Stars de Scarborough à l’Aréna du TD Place à 19 h 30. Les Shooting Stars et les BlackJacks occupent actuellement la deuxième et troisième place respectivement dans la conférence Est, avec des bilans de 9‑10 pour Scarborough et 8‑10 pour Ottawa. Les deux équipes ont aligné une fiche de 2‑3 lors de leurs cinq derniers matchs. Ce match est crucial pour le classement en séries : le vainqueur s’emparera de la deuxième place à l’Est. En playoffs LECB, l’équipe classée deuxième est directement qualifiée pour le deuxième tour, tandis que la troisième doit disputer un match de qualification face à la quatrième pour atteindre ce même tour. Pour Ottawa, ce positionnement est d’autant plus vital : après ce soir, ils auront joué quatre matchs en neuf jours et devront enchaîner cinq autres en dix jours pour terminer la saison. Un match de repos supplémentaire et du temps de récupération seraient donc un précieux avantage. « Un match de bye signifie que vous ne jouez pas jusqu’à juste avant le Final Four, alors pouvoir se reposer après cette période intense est vraiment important », a déclaré l’entraîneur des BlackJacks, David DeAveiro. Cette deuxième place n’est pas seulement une question de repos, c’est aussi une reconnaissance du travail accompli toute la saison. « Si nous jouons assez bien pour obtenir ce deuxième rang », a souligné DeAveiro, « nous aborderons les playoffs avec un bon état d’esprit, conscients que nous avons mérité ce repos. » Ce regain de moral est particulièrement nécessaire après la défaite sur le fil (un point) contre les Saskatchewan Rattlers, qui affichent l’un des pires bilans de la ligue. Les BlackJacks ont livré une lutte acharnée contre les Rattlers jusqu’à la fin, mais une faute sifflée sur Ottawa lors de la dernière possession a offert deux lancers francs décisifs à Saskatchewan. Le problème clé de ce match ? La bataille des rebonds. Saskatchewan a écrasé Ottawa 52‑40 au total, et 19‑9 au rebond offensif. Le rebond a été un point faible constant pour Ottawa cette saison : avec seulement 38,4 rebonds par match, ils se classent avant‑dernier sur dix équipes, juste derrière Saskatchewan (39,0). Pourtant, ils ont largement dominé sur le plan des rebonds. Jaden Bediako, qui évolue pour les Rattlers et compile en moyenne 6,9 points et 8,2 rebonds par match, a établi le record de la saison régulière LECB avec 20 rebonds dans un même match, en plus de marquer 23 points. Ce match a mis en lumière la faiblesse la plus criante des BlackJacks. Pour DeAveiro, cela ne peut se corriger qu’avec de la fierté : « [Le rebond] c’est une question de ténacité. Ce n’est pas une question de technique, mais de combativité. Vous voulez le ballon. Ce sont des duels individuels qu’on ne gagne pas. » Ottawa est pourtant une excellente équipe défensive, concédant seulement 85,6 points par match en moyenne cette saison. Mais toute cette défense est réduite à néant si les rebonds ne sont pas sécurisés pour passer à la possession suivante. « Tant que l’on n’améliorera pas le rebond, on aura des situations où on défend très bien, puis on concède un rebond offensif… et on doit défendre encore. » Une autre conséquence de cette faiblesse : l’absence de jeu en transition. Cela nuit particulièrement à Ottawa, dont l’offensive repose beaucoup sur les contre-attaques. Ils ont largement dominé les Rattlers dans ce domaine, 26 à 6. Avec une majorité de tireurs à trois points et de bons passeurs (notamment Keevan Veinot, Javonte Smart, Deng Adel et Isaih Moore), leur jeu rapide génère des paniers faciles, mais cela ne fonctionne que si le rebond défensif est obtenu. « Il n’y a aucun équilibre sur le rebond défensif », a commenté DeAveiro lorsqu’on l’interrogeait sur la gestion des breaks et des rebonds : « Tout le monde doit prendre un rebond pour que nous puissions courir… si vous voulez mener la contre-attaque, allez chercher le rebond. » Le défi pour Ottawa ce soir sera donc clair : maîtriser les rebonds défensifs, sécuriser leurs stops, puis déclencher la transition pour marquer facilement. Scarborough est troisième de la LECB en rebonds offensifs (12,2 par match), ce qui représente un test majeur pour voir si Ottawa a vraiment progressé dans ce domaine. Pour corser le défi, depuis leur dernière confrontation avec Ottawa, Scarborough a recruté de nouveaux joueurs susceptibles de renforcer leur présence aux rebonds. Parmi eux, Michael Foster Jr., ancien joueur de la NBA G League Ignite (aux côtés de Scoot Henderson et Dyson Daniels), s’est illustré dans son premier match sous les couleurs des Shooting Stars : 12 points, 8 rebonds et 2 contres en 25 minutes. Sa présence à l’intérieur sera un nouveau défi pour Ottawa : ses intérieurs Isaih Moore et Christian Rohlehr devront être exigeants et agressifs pour le contenir. Un autre renfort est Anthony Walker, qui a joué neuf matchs avec les Alliance de Montréal cette saison avant de rejoindre Scarborough début juillet. Il affiche actuellement 11,2 points par match avec son nouveau club. Ce ne sont pas les seules nouveautés : Scarborough compte désormais six joueurs importés dans son effectif, dont Foster Jr. et Walker, mais aussi Cat Barber, Terquavion Smith et Donovan Williams, ce dernier de retour de la Summer League NBA. Smith et Williams sont particulièrement redoutables, respectivement deuxième et troisième meilleurs marqueurs de la ligue avec 24,7 et 24,3 points par match. Ottawa devra verrouiller ces deux-là pour espérer l’emporter ce soir. Mais la règle limitant à quatre le nombre d’imports par match oblige Scarborough à faire tourner ses joueurs d’un match à l’autre. Chaque rencontre est donc différente d’un point de vue effectif. « C’est difficile de se préparer, car on ne sait pas qui jouera », a souligné DeAveiro. « On doit vraiment se concentrer sur nous-mêmes. » Comme pour Scarborough, Ottawa doit gérer son propre point d’interrogation : l’ailier Zane Waterman a manqué les trois derniers matchs en raison d’une blessure à la tête. Son retour est incertain ce soir, mais sa présence au Place TD serait incontournable. « Il nous manque terriblement – il est notre 'tough guy' », dit DeAveiro. « C’est notre enforcer, notre bête physique sous le cercle… on a hâte de le retrouver. Ça serait un bon coup de boost pour nous. » Waterman est souvent le leader de l’équipe de banc : lorsqu’il ne commence pas, il apporte en moyenne 15,2 points et 5,8 rebonds par match, des chiffres cruciaux pour les BlackJacks. En l’absence de sa décision ce soir, les priorités des BlackJacks restent identiques : dominer les rebonds défensifs, sécuriser les possessions, jouer vite et scorer. La tâche sera rude face aux nouveaux talents des Shooting Stars, mais pour décrocher une place directe en deuxième ronde des playoffs LECB, Ottawa doit absolument l’emporter ce soir. Contactez-nous sur les réseaux sociaux : Instagram : ottawablackjacks X : Ott_BlackJacks Facebook : OttawaBlackJacks TikTok : ottawablackjacks